mercredi 18 mai 2011

Otto Dix, La Guerre, 1929-1932

INTRODUCTIONLa Guerre est une oeuvre d'Otto DIX, peintre allemand, engagé volontaire au début du conflit de la première guerre mondiale et qui en revient révolté et pacifiste. Cette    oeuvre est donc celle d'un homme qui a vécu l'horreur et l'inhumanité de la "Grande Guerre" et qui témoigne de son expérience de soldat en représentant un champ de bataille où la mort    et la cruauté règnent en maîtres.
    Otto DIX réalise La Guerre entre 1929 et 1932 c'est à dire plus de dix ans après l'armistice, à une période où les idées nationalistes trouvent de nouveau une place en    Allemagne et où les gens commencent à oublier les terribles souffrances apportées par la guerre. C'est dans ce contexte particulier que le peintre réalise cette oeuvre afin de    rappeler l'extrême brutalité et la sauvagerie vécues pendant le conflit.
    Cette oeuvre composée de trois panneaux principaux est appelée triptyque*, elle rappelle la forme des retables** de la Renaissance que le peintre n'a pas choisie par hasard puisqu'il    évoque avec son triptyque une oeuvre majeure de la Renaissance : Le retable d'Issenheim de Mathias    GRÜNEWALD.
DESCRIPTION

    I. Les éléments iconiques (ce qui est représenté)
Panneau de gauche : des soldats en armes portant sac au dos (il est possible d'identifier là les armes et l'uniforme portés par les poilus) tournent le dos au spectateur et    marchent dans la brume, ainsi ils forment une armée humaine sans visage et sans identité, masse aveugle avançant d'un même pas vers le front et ses atrocités.

    Panneau central : Alors qu'aucun décor n'est représenté dans le panneau de gauche, l'arrière plan du panneau central est occupé par la représentation de ruines : restes de maisons écroulées ou    calcinées, paysage désertique au sein duquel aucune trace de présence humaine ne subsiste, évocation des ravages causés par les bombardements (Cf. Verdun). Au premier plan c'est la tranchée dans    toute son horreur et son inhumanité qui est évoquée : (en bas à droite) amoncellement de corps déchiquetés et éviscérés (bombardements) surplombé par un cadavre aux yeux vides, à la    bouche ouverte d'où jaillit un vers et à la peau parsemée de pustules qui évoquent tout à la fois le Christ de Mathias GRÜNEWALD mais aussi les conditions d'hygiène abominables dans lesquelles    ont vécu les poilus dans les tranchées (maladies, épidémies). Ce cadavre tend une main, tentative désespérée d'obtenir de l'aide dans un univers d'où  l'humanité a disparu, son appel à    l'aide reste suspendu dans le vide. Au dessus de cet amas de viscères et de corps flotte un squelette embroché sur un résidu d'architecture (citation indirecte du christ crucifié) et qui désigne    de son doigt la mort et la barbarie qui s'entassent plus bas. Quasiment invisible, à gauche de l'image un unique survivant assiste à la scène, statufié par sa cape qui le prive de ses bras (et    donc de toute action), visage et regard dissimulés sous son masque c'est un personnage passif et sans identité, pétrifié par l'inhumanité dont il est le spectateur, il est à son tour comme    privé de son humanité.

    Panneau de droite : Ce panneau contient un autoportrait, Otto DIX se représente en sauveur transportant dans ses bras un soldat blessé. Ce personnage de sauveur se distingue de tous les    soldats représentés dans le triptyque : c'est le seul qui fait face au spectateur et qui avance (avec une grande détermination) vers le premier plan, le seul aussi qui possède la capacité de    voir (et quelle intensité dans ce regard !) enfin il est également l'unique personnage de cette scène qui ne porte pas l'uniforme complet du soldat : ni casque, ni masque, ni arme,    ce "sauveur" avance à découvert ne craignant pas l'attaque ennemie et n'étant pas soucieux non plus de se défendre.

    Prédelle : Panneau inférieur au format rectangle allongé : le peintre inscrit dans ce format la représentation de ce qui semble être un caveau ou un cercueil collectif : des soldats allongés    évoquent le corps du Christ mort représenté dans la prédelle du retable d'Issenheim  II Les éléments plastiques (les moyens    utilisés pour réaliser une œuvre)

La Guerre est une peinture à l’huile    réalisée sur des panneaux de bois (qui sont donc les SUPPORTS) de l’œuvre.
La couleur : dans cette    œuvre Otto DIX utilise principalement des nuances de rouge et de brun. La couleur dominante est le brun, brun de la terre des tranchées, environnement quotidien et unique horizon des poilus. Le    rouge est utilisé pour représenter tour à tour le ciel tourmenté sous lequel les soldats partent au front (panneau de gauche), l’amas de viscères ensanglanté (panneau central) et le feu du champ    de bataille (panneau de droite). L’artiste choisit le rouge parce que c’est une couleur organique (celle du sang) mais aussi pour sa valeur symbolique ; dans notre culture le rouge symbolise    en effet le violence et parfois la mort.
Les couleurs sont sombres, ternes et sales comme l’est l’univers guerrier que dépeint Otto DIX : une guerre qui se    déploie dans la boue et la crasse et qui répand la violence et la mort.
La lumière : la principale    touche de lumière se trouve dans le panneau de droite dans lequel le peintre éclaire grâce à l’emploi de couleurs claires le personnage du sauveur. Cet éclairage puissant guide notre regard de    spectateur vers cette partie importante de l’image, peut-être la plus importante pour l’artiste car elle est la seule à présenter une part d’espérance et de vie.
En CONCLUSION
La Guerre d’Otto DIX est une œuvre que    l’on peut qualifier d’engagée, c’est en quelque sorte un acte politique par lequel l’artiste énonce très clairement son dégoût de la guerre et le pacifisme qui en est la conséquence. Mais son    intention ne se limite pas à cette « déclaration de pacifisme » car il souhaite également nous convaincre, nous spectateurs, de l’horreur et de la bêtise de la    guerre.
C’est certainement pour cela qu’il se représente en sauveur : il est celui qui nous met en garde contre la guerre    et ses atrocités.

Otto Dix, les joueurs de skat

Titre : les joueurs de skat
Auteur : Otto Dix
Date : 1920
Dimension : 110×87 cm
Technique : Huile et collage sur toile.
conservée à la galerie Nationale de Berlin

Otto Dix (né le 2 décembre 1891, mort en 1969) est un peintre allemand de La Nouvelle Objectivité et de l'Expressionnisme. Il est issu d'un milieu ouvrier,  mais reçoit une éducation artistique par sa mère qui s'intéressait à la musique et à la peinture.A la proclamation de la première guerre mondiale, il s’engage avec enthousiasme comme volontaire dans l’armée allemande, il y tient un journal graphique pour dessiner ce qu'il voit et ce qu'il ressent, près de six cents pièces dessinées avec les moyens du bord, du fond de la tranchée.  Il est gravement blessé plusieurs fois sur le terrain et l'horreur de la guerre l'affectera et le traumatisera profondément comme en témoignent nombre de ses travaux.
La montée du nazisme oblige Otto Dix à quitter son poste de professeur à l'Académie, étant considéré comme un artiste dégénéré,Dix est persécuté par les nazis à l’instar d’autres artistes comme Kandinsky ou Max Beckman. Il est arrêté en 1938 et enfermé pendant deux semaines par la Gestapo pour complot contre Hitler, puis il est relâché en 1939.


DESCRIPTION
Au second plan on trouve sur la droite un porte manteau , au dessus des trois hommes sont affichés des articles de journaux allemands qui font référence au conflit Franco-Allemand pendant la première Guerre Mondiale  et en haut à gauche du tableau un lampadaire (où l'on distingue une tête de mort) éclaire la scène. Au centre de son tableau on peut voir les trois personnages principaux jouer aux cartes assis autour d’une table à la terrasse d'un café le soir . Le premier personnage, celui de gauche est un homme. On ne peut pas lui donner d’âge tellement sa peau est abîmée. Cet homme est disproportionné, il a une jambe de bois et joue aux cartes avec le pied qui lui reste. Le joueur dont la manche droite est vide, sort de sa manche gauche une main articulée avec laquelle il pose ses cartes sur la table. De son oreille part un tuyau qui lui permet d’entendre la conversation. Il doit avoir perdu l’audition lors de la guerre. Le second personnage, au centre, joue aussi aux cartes. Il lui manque une partie de la peau de la tête: il a été scalpé. Il a deux moignons à la place des jambes qu’il a perdues à la guerre. Si on regarde son corps on voit qu’il n’est fait que d’os, il n’a pas de peau. Ce personnage a un œil de verre et n’a pas d’oreille. Le troisième personnage n’a pas de jambe , il est posé sur une sorte de socle en fer. Contrairement aux deux autres personnages il a ses deux mains mais l’une des deux est articulée comme un robot et l'autre est aussi une prothèse. Sur son veston il porte une croix germanique: signe de ralliement des Allemands.
Les mutilations renvoient bien sûr à la violence subie pendant la guerre mais aussi de l’impuissance des médecins à réparer les corps dont témoigne le recours à l’appareillage prothétique. Celui-ci s’apparente à une forme de camouflage ou de cache misère : il s’agit de tenter de rendre invisible les destructions subies. Ainsi, chez le joueur de droite, au-dessus de son col officier, une prothèse tente de combler l’absence de mâchoire inférieure. Son articulation repose sur un système de poulies qui masque en partie, une large cicatrice de la joue gauche. Un assemblage de pièces en aluminium soutient sa lèvre inférieure fournie. L’extrémité du nez du joueur de droite est recouverte d’un bandeau en cuir noir noué autour de sa tête. La coiffure est soignée, l’œil et le sourcil du côté apparent semblent avoir été épargnés. Sur sa prothèse, Dix a apposé une inscription. Le joueur du centre a posé une partie de ses cartes sur la table, les maintenant droites par le biais d’un support en argent. Il tient le reste de sa donne dans la bouche. Son visage, comme celui de son voisin de gauche, porte une prothèse qui remplace sa mâchoire inférieure sans parvenir toutefois à dissimuler une perte de substance importante de la joue gauche. Il porte une demi-moustache noire relevée. Son œil gauche est fixe, artificiel.
Si on s’intéresse aux couleurs on voit qu’il n’y a pas de couleurs vives. Toutes les couleurs tournent autour du verdâtre, noir, et bleu foncé. On voit aussi que les lignes du tableau sont très confuses. Elles sont toutes cassées. Il n’y a pas d’équilibre dans le tableau. Ces lignes confuses et ces couleurs froides mettent le spectateur très mal a l’aise tout en l’amenant à accepter les idées du peintre. L’utilisation du clair/obscur nous révèle les corps d’anciens soldats démembrés. On note ainsi l’absence quasi-totale de membres inférieurs, remplacés par des pilons ou des jambes de bois articulées. Ces trois caricatures sont donc vraiment exagérées. Ils sont difformes , estropiés, affreux. Peut être qu’Otto Dix les a peints de telle sorte qu’ils fassent peur aux gens?
 Dans les Joueurs de Skat, Dix concentre toute son attention sur les dégâts faits aux corps. D’ailleurs la minutie avec laquelle il s’applique à représenter les mutilations oblige le spectateur à un effort de représentation du réel, qui apparaît à ses yeux presque irréel. Le recours à la technique du collage renforce l’idée d’un assemblage des corps réalisé à partir de pièces hétéroclites. En effet, aux corps disloqués s’ajoutent des corps étrangers, les prothèses intégrées ou imbriquées dans les corps. Les corps apparaissent ainsi mécaniquement assemblés.Mais Dix parvient à métamorphoser l’effroyable et le hideux en grotesque voire en ridicule. Dans l’exhibition tout d’abord par les anciens combattants de leurs propres mutilations, dans le fait qu’ils trouvent dans leurs blessures une fierté, une forme de valorisation voire d’héroïsation. Le joueur de droite porte d’ailleurs sa Croix de Fer. La perte de dignité est poussée ici jusqu’à l’impudeur comme le souligne le sexe apparent du joueur de droite. Les corps ressemblent à des marionnettes, à des pantins mécaniques, il ne s’agit plus que de reliquats de corps, conséquence de la folie guerrière. Le ridicule se retrouve ensuite dans les prothèses auditives que Dix représentent comme un jouet : le joueur de gauche porte un tuyau qui part de son oreille droite jusqu’à une petite cornette posée sur la table ; de même que chez le joueur qui fait face, sort de son oreille gauche, comme son voisin de droite, une sorte d’amplificateur.
 Ici les trois joueurs nous montrent leurs jeux. S’ils semblent avoir les cartes en main, le contenu est dévoilé parce « les jeux sont faits ». Ces derniers étaient même truqués puisque l’on remarque deux cartes identiques. Leur destin leur a échappé, il était écrit. L’expression des joueurs traduit également le sentiment qu’ils ont de leur propre perte et que celle-ci est due à un hasard arbitraire et tragique. Les cartes sont ici retournées comme le sont leurs enveloppes corporelles. Une précision méticuleuse sur lequel repose le substrat du travail de représentation pictural du trauma d’Otto Dix.





Persépolise

Oeuvre : Persepolis
Support : auto portrait film d'annimation
auteur : Marjane Satrapie


Marjane Satrapie, née le 22 novembre 1969 à RashtIran est une scénariste et déssinatrice de bande déssine. 
Persepolis est un long métrage d'animation français de Vincent Paronnaud et Marjane Satrapi sorti en France le 27 juin 2007

Du noir, du blanc et un peu de gris : loin du déluge de couleurs souvent associé au cinéma d’animation, Persepolis étonne par sa rigueur graphique. Best-seller un peu inattendu, la bande-dessinée autobiographique de Marjane Satrapi était encore plus radicale : en noir et blanc et en quatre tomes, l’auteur y racontait son enfance et son adolescence à Téhéran à la fin des années 1970 et au début des années 1980, choyée par des parents cultivés et ouverts, témoins des événements dramatiques qui suivirent la chute du Chah d’Iran et l’instauration de la République islamique. Soit la grande et la petite Histoire entremêlées dans un roman graphique drôle et bouleversant à la fois, accueilli sous un tonnerre de louanges par la presse et le public dès sa sortie.

Co-réalisé par Satrapi elle-même et son acolyte Vincent Paronnaud, cette adaptation cinématographique pouvait susciter une inquiétude toute légitime auprès de tous ceux qui se sont laissé captiver par la BD. En réalité, l’oeuvre de Marjane Satrapi en ressort grandie. Là où Persepolis — le livre — était drôle, édifiant et touchant, Persepolis — le film — reprend les atouts de son matériau originel en y ajoutant l’indispensable : un regard de cinéaste(s) qui le magnifie, lui offrant tension, fluidité et poésie. Véritable saga familiale autant que roman d’apprentissage et document politique, Persepolis (prix du jury à Cannes) condense en un peu plus d’une heure trente vingt-cinq années de l’histoire d’un pays vues par le petit bout de la lorgnette.

L’histoire de Marjane — petite fille au caractère bien trempé, quasiment née avec une conscience politique, puis jeune femme rebelle exilée à Vienne et déchirée entre les tourments de l’adolescence et le mal du pays — a la saveur des mélodrames et la densité d’une série télévisée. Mais Satrapi et Paronnaud ne cèdent à aucun moment à la facilité : pas de musique larmoyante ni de scène déchirante, mais plutôt une mélancolie diffuse, omniprésente. Entre rire et émotion, les deux cinéastes ne choisissent pas, préférant unir les deux jusqu’à les associer parfois dans la même scène, maniant les ellipses avec un beau sens de la retenue : les choix esthétiques de Satrapi (silhouettes noires sur fond blanc, aplats d’où se détache un élément pour mieux en souligner l’importance) font de Persepolis une œuvre à la légèreté apparente, bouleversante de pudeur, où chaque événement (historique, personnel) a autant valeur de témoignage que dans un documentaire.

Ce dont témoignent également Marjane Satrapi et Vincent Paronnaud, c’est leur connaissance et leur amour du cinéma. Car si les personnages de Persepolis existent, c’est aussi grâce aux voix qui leur sont associées : Chiara Mastroianni en tête, qui fait de Marjane un être à part entière, aussi concret que n’importe quel rôle qu’elle a pu interpréter par le passé. Débarrassée de son aura de star, "cachée" derrière un personnage plutôt discret (la mère de Marjane), Catherine Deneuve donne l’impression de trouver là un des plus beaux rôles de sa filmographie de ces dernières années : tour à tour protectrice, inquiète, autoritaire ou passionnée, elle trouve ici matière à faire enfin taire ceux qui, depuis plusieurs années, la pensent incapable de transmettre une émotion. Cerise sur le gâteau, Danielle Darrieux offre sa pétulance au personnage de la grand-mère confidente, peut-être le plus beau personnage du film, symbole de la grandeur et du modernisme passés d’un pays aveuglé (n’oublions pas l’excellent Simon Abkarian, qui donne sa voix au père de Marjane). Que ces trois-là, mères et filles dans la réalité ou au cinéma, soient réunies pour prêter leur voix à trois des plus beaux portraits de femmes offerts par le cinéma français cette année, est l’un des nombreux délices de ce film qui, en contant l’histoire personnelle d’une femme d’une culture différente de la nôtre, parvient à être universel.     

Yves Klein Hiroshima ( PAS FINI )

Yves Klein, né à Nice le 28 avril 1928, mort à Paris le 6 juin 1962, est un artiste français
Malgré une carrière artistique assez courte (1954-1962), il est considéré comme l'un des plus importants protagonistes de l'avant-garde artistique d'après-guerre[1]. Il est notamment connu pour son bleu (IKB pour International Klein Blue), qu'il appliqua sur de nombreuses œuvres.

Otto Dix, Autoportrait au soldat, 1914

Titre : Auto portait en soldat
Technique peinture a huile
auteur : Otto dix
Date : 1914
Dimensions : 68 x 53,5 cm
Conservation : Gallerie municipale de Stuttgart


Je vais vous présenter une peinture a huile faite en 1914, sur papier, recto verso, 68 x 53,5 cm, Galerie municipale, à Stuttgart. Crée par Otto Dix qui est un peintre allemand 1891-1969 associé aux mouvements de l'expressionisme et a la Nouvelle Objectivité. Il a participer a la guerre 14-18  quand il avait 23 ans, cette expérience l'avait beaucoup marqué Une partie non négligeable de son oeuvre en témoigne. Dans ce portrait exécuté dans l'urgence, la fulgurance même, l'horreur de la guerre nous saute aux yeux.
L'expressionnisme est un mouvement artistique apparu au début du XXe siècle, en Europe du Nord, particulièrement en Allemagne
La nouvelle Obectivité : est un mouvement artistique apparu en Allemagne dans les années 1920 et qui succède à l'expressionnisme.
A présent je vais vous décrire l'oeuvre.




Les pinces a linges

TITRE: les pinces a linge
REALISAEUR : joel Brisse
SCENARIO : J.brisse
MONTAGE : C.Krassovsky
DATE : 1997

Ce film de joel Brisse lui est venu en voyant un  jour les photos d'Eugène Bavcar qui est un photographe aveugle. Il a eu envi d'écrire son histoire. Tout au long de ce court-métrage la lumiére est inaccecile a l'adolescent du scénario va prendre une dimansion smbolique. Les hors-champs ont beaucoup d'importance et le son est particuliérement soigné, voire exagéré pour que l'attention su spectateur se porte sur des bruits qu'il ignore d'ordinaire.
Résumé : c'est l'histoire d'un adolescent aveugle qui essay de de vivire une vie normal en allant a l'école en sortant avec ses amis qui le soustien beaucoup. Il va se trouver une passion pour la photographie.
Ce film pose une refléxion sur la lumiére et l'obscurité qui sont deux composantes assentielles du cinéma. La lumière dans laquelle nous sommr tout au long du film et que le jeune Alban recherche tout au long du film ( il veut voir la pierre phosphoresente, la photo de classe le couché de soleil, prendre ds photos et l'obscurité a la fin du film. Cette séquence ou il refait le meme chemin qu'au début du film avec les pinces a linge mais cette foi si dans le noir dans son univers.

JOEL BRISSE :

 né le 27 julllet 1953. il est peintre. il ensaigne ensuite le dessin dans un college. il commence a réaliser des courts mérages en 1997. Puis en 2007 il commence a écrire un récit qui s'intitulle" suite de courts.

super Market Lady

Supermarket Lady

L'oeuvre que je vai vous présenter s'intitulle :

Titre: Supermarket Lady
Technique:Sculpture
Réalisateur: Duane Hanson (1925-1996)
La date : 1970
Lieux d'exposition : Musé d'art contemporain Ludwig Aix la Chapelle (Allemagne )

Duane Hanson: 

Sculteur Américain il a enseigner aux beaux arts. Il fera des sculptures réaliste voir Hyperéaliste sur lesquels il décrira son point de vue (1925-1996)

Contexte historique :

La sculpture arrive pendant les 30 glorieuses (Les pays riches sont devenus une société de consommation. Les gens consomment beaucoup à cause de l’apparition des supermarchés et des nouvelles technologies ( robots de cuisines ) )

Description de l'oeuvre : Phrases clés :a présent je vai vous décrire l'oeuvre.

La technique utilisé est le moulage avec des bandelettes de platres. Les matériaux Peinture, résine, Fibre de verre, métal, papier plastique.

La sculpture représente une ménagére de la classe moyenne Américaine .Le personnage est négligé il a des airs vugaires hebété. Supermarket Lady porte des bigoudis des chaussons elle est d'un certain poids. Son cadie est remplit d'aliments gras sucrés.

Interprétation de l'oeuvre : Maintenant je vai passer a l'interprétation.

Cette Sculpture donne une image très négative de la sociéte Américaine car cette résentation est dite représentation "type" du personne américain et supermarket lady comme on a pu le voir Duane Hanson va dénoncé les excès de la société de consomation a travers cette sculpture. Cela explique la cadis remplis car les salaires augmentes et l'apparation du travail a la chaine permet de produire plus. 
Cette sculpture appartient a " l'hyperréalisme " car la sculpture est réaliste par la technique utilisé mais l'artiste enlaidit la réalité. 
l'yperrealisme:
Mouvement artistique américain du milieu des années 1960 prônant un réalisme quasi photographique, lequel engendre une peinture et une sculpture lisses et impersonnelle
Les prévision de ce cadies symbolisent aussi l'amérique. Cettesculpture nous permet de visualiser la vie des Américains pendant l'époque des 30 glorieuses on peut constater que le classe inféruere Américaine se modifie le panier est remplacé par le cadis, la ménagére va faire toutes ses courses au même endroit. on peut trés bien envisager l'utilisation de la voiture a travers cette oeuvre pour transporter toute  la nourriture et nombreux produits achetés. Le créateur n'a pas de parti prit. L'artiste a voulu dénoncer la société de sur-consommation qui règne aux États-Unis. Pour transmettre ce message, il a représenté une scène "banale" et quotidienne. Cette sculpture nous évoque de la moquerie (corps disgracieu, apparence négligé) mélangé a de la reflexion sur sois même car quand nous voyons ceci nous réflichisson a si cela pourai de venir notre banal. 

MOTS CLES :

Hyper réalisme sociéte de consomation

Conclusion : En conclusion

Dans cette sculpture Duane hanson va dénoncé la sociéte de sur consomation américaine en représentant une scéne banale. Dans le but de faire réfléchie les gens et d'interloquer.

Rapprochement avec d'autres oeuvres  :

Borris Vian est  un autre artiste qui a lui aussi dénoncé l'excès de la société de consommation avec sa chanson " la companie du progrès " (1955). Dans laquelle il va contaster que l'amour s'accompagne de relation matériels.